A la Lueur du Lampadaire !

Variations de Challenges

Qui regroupent tous les défis ponctuels auxquels j'ai écris un billet dont le sujet soit la lecture, l'écriture ou Dieu sait quoi !


Eragon ou le Dragon bleu de la saga

Brize et son challenge "pavé de l'été" m'ont fait lire ce que Coccinelle et son défi "Dragon 2012" catégorie "spécial Dragon" n'ont pas réussi... Un comble quand on sait le sujet du roman : un dragon et son Dragonnier en route pour l'aventure !

 

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 (C) fanpop.com from Dragarta  

 

Le livre regroupe tout l'archétype du roman de (heroic) fantasy avec ses dragons, ses nains, ses elfes, ses créatures des ténébres dont juste leurs noms sonnent d'un autre vocable. Il est agréable à lire, tout en douceur malgré le rude voyage pour s'échapper à des ennemies, tout en intérêt malgré la pénibilité de l'enseignement, tout en mystère malgré la crainte de l'inconnu et tutti quanti.

 

Donc, pour résumé, nous avons un jeune garçon fermier, Eragon, d'origine inconnu - que je soupçonne d'être de haut par le côté paternel - qui trouve un oeuf de dragon qui finit par naître - c'est Saphira - et bien sûr l'objet de toutes les convoitises : du roi tyran, des camps en guerre, etc...

 

Voilà, c'est l'exercice type qu'un gamin de 15 ans a réussi haut la main a écrire ! Parce que l'intérêt d'Eragon réside là : l'âge de l'auteur à l'écriture (puis l'édition car ça a été assez rapidement.) 

 

Pour ma part, l'action me rappelle le Seigneur des Anneaux dans le voyage que les héros effectuent - et ça me tape un peu quand même sur le système : si marcher fait de ton voyage un récit fantasy, alors je suis le roi de la fantasy. L'enseignement du jeune dragonnier pour acquérir une base de magie me rappelle aussi Star Wars quand Luke Skywalker apprend le contrôle de la Force, et dans le même exercice : la lévitation. Bon, c'est pas du plagiat, juste des rappels de littérature.

 

Il y a quand même eu un instant d'éxcitation, point culminant, lorsque Eragon découvre pour la première fois en provoquant un coup d'éclat magique ! Les détails sont à lire. 

 

Bonne lecture !

 

PS : j'espère que la suite est plus rebondissant en grands actes ! Et, euh, oui, j'aurais dû parler longuement des dragons : je le ferai, oui, c'est promis, une autre fois ici - là le temps me presse, je passe en coup de vent, là.

 

 

 

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04/08/2013
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La campagne, l'école et the children's teacher: Mr Kwon

The children's teacher : Mr Kwon (de HO Woo) est tombé devant mon regard au hasard ; j'allais passer mon chemin mais deux choses m'ont stoppé net : 

 

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1) L'auteur coréen qui, n'étant pas proche du japonais, fait quand même partie de ce coin de la carte et un truc organisé par Coccinelle il y a longtemps.

2) Le titre qui se rapporte au défi de George, Cartable et Tableau Noir auquel je m'y suis inscrit mais pas lu de textes s'y rapportant - c'est chose faite.

 

 

Comme le titre indique si bien, monsieur HA Kwon est transféré dans une école de campagne, sur son volontarisme, dont on ne sait la raison exacte. De plus, on ne sait pas grand-chose sur lui non plus - sauf par déduction. La seule chose de sûre est qu'il s'y plait.

Dans cette école, il n'y a que 5 écoliers d'âges différents si... chous, pourrait-on dire ! Chacun a son propre caractère qui donne toute le punch à l'histoire !

 

La particularité de ce manhwa est dans les dessins parce que le texte... bah, il est quasi-inexistant. Ce qui ne froisse pas le plaisir de le lire. Il y a quand même de quoi établir un intrigue à la japonaise - mes actuelles références. Des problèmes sociaux et relationnels à résoudre. Comme d'hab, quoi ! Lorsque l'intrigue n'a pas de suite, il ya alors une petite suite de scènes comiques : de la trempe d'adorables enfants qui font de bons mots drôles. A découvrir !

 

Bon, les dessins. Ce sont trois ou quatre traits, de la couleur et dans des cases si espacées que je me demande comment l'auteur a fait pour attirer l'attention du lecteur puis de la garder. J'ai resenti un peu d'ennui au début, attendu un étoffement qui est malheureusement arrivé plus tard que mes espérances et enfin je n'ai pas lâché le manhwa jusqu'à la fin.

 

Une bonne lecture, surtout si un gamin est là pour faire des commentaires bien placés et lui expliquer quelques notitons abordées. Mais lire tout seul est tout aussi plaisant !

 

Quelques images :

 

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Le prof dans en place dans la campagne.

 

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Image 3D ? 

 

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Les 5 écoliers.

 

Et comme on est à l'école, voici un peu de vocable à la coréenne :

sunsaengnim = maitre d'école ;

ajeossi = titre honorifique pour un adulte de la part d'un plus jeune.

 

PS: chronique assez banale mais pas le manhwa !


01/08/2013
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Challenge au fond du soleil :Je commence tout juste (bilan juin-juillet)

Ce tout nouveau challenge, La PAL au fond du Soleil, organisé par Metaphorebookaddict en 3 mois dans le but de faire fondre les PAL n'est pas vraiment fait pour moi car ma PAL est toute toute toute petite - comparée aux 600 et quelques milliers de livres de la Dame en question ! Mais à vouloir lire, autant lire dans un cadre surtout qu'ici, mon monde est dénué de sentiers livresques battus. Et puis, plus on est de fous, plus on rit, non ?

Donc, je pars pour "l'indice 10" soit 10 livres : les ai-je vraiment ? Voir ma biblio de village... Ainsi il n'y a pas eu de bilan pour le mois de juin car il n'y a pas vraiment eu de livres de lus : juste des bribes, des articles et autres broutilles littéraires.

 

  1. Eragon de Christopher Paolini avec 678p. Celui-ci est fini à mi-juillet : il n'y a que le bilan qui traine. Je l'avais choisi pour le challenge Dragon 2012 mais il n'a jamais volé jusqu'à ce train-là.  678p lues.
  2. Les Hauts de Hurlevent avec 715p. Ce livre-là, en cours, est un choix de ma soeur : elle voulait que je m'imprègne de la culture à l'anglaise ; je me suis essayé à Orgueil et préjugés de Jane Austen mais je l'ai lâché très vite, n'y voyant, n'en déplaise à quiconque, que de la bavarderie de filles.   50p lues.
  3. The girl with the dragon tatoo by Stigg Larsson avec 463p : en cours, que j'ai choisi juste pour le titre ; je ne sais ni le sujet ni la cause. Il me semble qu'il y a eu un film de ce titre-là, que je n'ai pas visionné. Donc je m'attends à tous les effets possibles.  50p lues.
  4. America, A Narrative History by Tindall and Shi est mon livre de chevet, je l'emmène comme un portefeuille ; il ne finira jamais, c'est pourquoi je n'ai pas indiqué le nombre de pages qu'il a au total ; je le relis (trop) souvent ainsi il y a, cette fois-ci, quand même :  70p de lues.

 

 total : 878p lues.  1/10 livres lus.

 

                  

 

 Conclusion, en gros, des pavés à lire ; à finir surtout pour le mois suivant. Le mois de juin a été l'amorce, juillet est le mois de la prise, l'adaptation. Donc de la lecture par bribes, en petite quantité. Pour ne pas risquer l'indigestion ? Vais-je persévérer ?

 

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29/07/2013
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The girl with the dragon tatoo...

... m'a rendu visite lors du challenge PAL au fond du soleil, ce qui m'a fait très plaisir. Une fille, un dragon - tatouage ou pas - bestiaire mythique préféré qui laisse présager quelques évènements mythiques, une belle rencontre ?

 

 

 

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Comme toutes les rencontres celle-ci itou commence avec une fleur - mythique elle aussi : Leptospermum (Myrtaceae) rubineüe ou Desert Snow surnom aborigènique. Ce qui lance l'intrigue...

 

 

Le tout pour continuer dans un roman policier, un thriller qui est assez palpitant. Ainsi nous faisons connaissance avec Mikael Blomkvist, reporter dans une quelconque agence de presse, spécialisé dans le patrimoine financier et entreprenarial en Suède. Il est en procès pour diffamation et se cherche donc un scoop, qu'un ami apporte sur un plateau d'argent. Mais, le vers est dans la pomme et Mikael se retrouve vite dans les ennuis sans aide véritable. Après un début difficile sur le top départ - il faut se taper toute l'explication de la vie de Mikael, le genre d'homme qu'il est, puis de la situation de l'entreprise véreuse ou bien les aspects de la vie de chaque personnage soit un tantinet important, la suite de l'intrigue prend bien et l'on suit avec haleine l'enquête de Mikael. 

A franchement dire, je ne suis pas fan de ces romans à suspense économique ; mais un de temps à autre ne fait pas de mal. Il y a eu La firme, le plus célèbre, et puis d'autres dont je ne me souviens plus. Celui-ci, outre le titre - et ce malgré le long début où j'ai failli laché, m'a tenu à cause du pays où le roman prend place : la Suède - ce qui est nouveau pour moi. 

Et puis, dès sa première description, un personnage m'a bien plu : Lisbeth Salander : elle est décrite comme une femme-robot qui trouve tout sur les plus obscurs personnages, qui ne lâche pas l'affaire tel un chien, son os - impossible de se cacher d'elle. Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert que c'est elle "the girl with the dragon tatoo" !/ la fille au tatouage de dragon ! - ça sonne mieux en anglais... Alors, là, oui, j'ai tenu le livre plus fort ! 

 

 Enfin, la petite anecdote  de cette lecture : la traduction de cette édition, bien qu'elle soit documentée avec des éclaircissements sur les instances officielles de la Suède, avait des problèmes typographiques qui donnèrent des phrases hors de sens - jusqu'à être injurieuses.

Bon, ma chronique me parait un peu fade, m'enfin, tant pis, je trouverai bien quelque chose à épicer bientôt ! ...


24/07/2013
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L'empire de Chine à portée de Coldplay !

Bon, il ne faut pas que ça devienne une habitude, hein ? Là aussi, je fais un court billet sur la chanson de Coldplay et Rihanna au doux titre de "Princess of China".

 

Agréable à écouter, genre conte chinois, et musique à la fois douce et entrainante. 

 

Lien Youtube 

 

Mais c'est évidement l'univers que le clip s'inspire qui importe !

 

Que dites-vous, certes beaucoup trop rapide mais si marquante, d'une visite dans l'impériale Cité Interdite ? Et d'un combat au sabre, qui semble être ninja mais je ne peux en donner la certitude ? De cette manie légendaire des combattants qui savent voler après un élan contre le tronc d'un arbre ou le mur du palais ?

 

Il y a quelques contradictions, me semble-t-il, quant à associer quelques éléments du clip à la conotation chinoise.

 

Mais la vie luxuriante extrême-orientale est bien présente, se laisse deviner, s'imaginer, malgré un grand vide dans les salles, ce qui nous efface quelque peu le goût assez indigeste de remake raté des grands films tels que Tigre et dragon ou Le secret des poignards volants entre autres. 

 

Quelques images du clip.

 

 L'entrée de la Cité Impériale. (Y sont-ils allés tourner là-bas ou c'est juste une image de synthèse...)

 

 Impressionnant, non ? Je ne voudrais pas me retrouver en face de lui...

 

Scène de combat acrobatique dans une superbe salle !

 

 Danse thaï ? 

 

 Tambours chinois, taiko.

 

Bien sûr, je ne sais pas ce que racontent les paroles (et m'en fiche...) ni qui sont les acteurs. 

 

Admirez que les images avec la musique en fond sonore. Bon voyage !

 

PS: Catherine, je pense que ça va dans la catégorie "Chine", non ? 

 

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28/11/2012
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